Les fouilles archéologiques menées sur le site de Ploërmel (56) – ZA du Bois Vert ont été réalisées par le bureau d’études Éveha sous la responsabilité de Yann Dufay-Garel dans le cadre du projet d’aménagement porté par Ploërmel Communauté. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés du Néolithique, de la Protohistoire, du Moyen Âge et des époques moderne et contemporaine.
L’étude d’archéologie du bâti menée sur le site du Château de Grignan (26), dans le cadre du projet de restauration de la cloison nord du grand vestibule, a été réalisée sous la direction de Guillaume Roquefort. Elle a permis de mieux comprendre la chronologie de l’aménagement des espaces intérieurs du château.
Les fouilles archéologiques menées sur le site de Périgueux (24) – Place de la Clautre ont été réalisées par le bureau d’études Éveha sous la responsabilité de Boris Hollemaert dans le cadre du projet d’aménagement porté par Ville de Périgueux. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés de l’Antiquité à l’Époque moderne.
Les fouilles archéologiques menées sur le site de Darcey (21) – En Dressilly ont été réalisées par le bureau d’études Éveha sous la responsabilité de Lucie Christin, dans le cadre du projet d’aménagement porté par Alterric France SAS. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés de la Protohistoire.
Fig. 1 : Plan du site de Darcey. Crédit : Éveha, 2025.
Soixante-sept structures sont clairement identifiées comme anthropiques, dont six fosses, quarante-huit trous de poteau et six tronçons de fossés.
Fig. 2 : Vue cavalière vers le sud-est du bâtiment UA 1. Crédit : Éveha, 2025.
La quasi-totalité des trous de poteau de la zone nord compose un bâtiment à plan allongé, d’environ 17 m de longueur pour 8 m de largeur. La conservation des trous de poteau varie dans cette unité architecturale : si certains ont conservé une profondeur pouvant aller jusqu’à 20 cm, d’autres ne sont visibles que par une empreinte circulaire plus sombre dans le substrat. Les plus profonds, creusés dans la dalle calcaire, sont aussi les plus lisibles et ceux qui présentent les comblements les plus anthropisés. Ils comprennent du charbon, des fragments de terre cuite, de la céramique et de rares restes osseux de faune. Les éléments céramiques pourraient renvoyer au premier âge du Fer, bien que cette datation reste à confirmer en post-fouille.
Les trous de poteau de la zone sud sont plus dispersés, mais semblent fonctionner pour la plupart par paires. La majorité d’entre eux sont bien conservés, car ils sont creusés dans le substrat calcaire. Pour trois d’entre eux, l’empreinte du poteau est visible en coupe dans le comblement de la structure.
Les fosses, peu profondes, et dont la fonction nous échappe pour le moment, ont livré principalement du mobilier céramique et quelques fragments de terre cuite. L’une d’entre elles présente également des couches rubéfiées pouvant évoquer des rejets de foyer. Certaines pourraient correspondre à des fonds de silos arasés.
Fig. 3 : Vue en coupe du silo ST 119. Crédit : Éveha, 2025.
Quatre fossés parallèles et quelques ornières ont été identifiés au nord de la parcelle sud et pourraient suggérer la présence d’un ancien chemin. Deux coupes, réalisées dans ces structures, révèlent un profil en cuvette de faible profondeur. Un certain nombre de clous de chaussures possiblement antiques et d’éléments en fer modernes y ont été mis au jour.
Fig. 4 : Emprise de fouille en cours de décapage. Crédit : Éveha, 2025.
La phase de post-fouille est actuellement en cours et permettra d’affiner chronologiquement les différentes phases d’occupation du site et d’en comprendre l’organisation.
Les fouilles archéologiques menées sur le site de Saintes (17) – ZAE Les Charriers Sud ont été réalisées par le bureau d’études Éveha, sous la responsabilité de Cédric Leclerc, dans le cadre du projet d’aménagement porté par Saintes Grandes Rives – L’Agglo. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés de la Protohistoire, de l’Antiquité et du Moyen Âge.
Le suivi archéologique de travaux mené sur le site de Nantes (44) – Rue Élie Delaunay a été réalisé par le bureau d’études Éveha, sous la responsabilité de Paul Lagarrigue, dans le cadre du projet d’aménagement porté par ERENA. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés de l’Antiquité, du Moyen Âge et des époques moderne et contemporaine.
Les fouilles archéologiques menées sur le site de Saint-Mesmin (10) – Voie de Savières ont été réalisées par le bureau d’études Éveha sous la responsabilité de Jean-Baptiste Sinquin, dans le cadre du projet d’aménagement porté par SNCF Réseau. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés du Néolithique, de la Protohistoire, de l’Antiquité/période gallo-romaine.
Les fouilles archéologiques menées sur le site de Guéret (23) – Place Varillas, rue de la Laïcité, boulevards Carnot et Saint-Pardoux ont été réalisées par le bureau d’études Éveha sous la responsabilité de Boris Hollemaert, dans le cadre du projet d’aménagement porté par Guéret Énergie Service. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés du Moyen Âge à l’époque moderne.
L’étude du bâti menée sur le site de Riom (63) – Îlot Grenier (partie nord) a été réalisée par le bureau d’études Éveha, sous la responsabilité de Joris Moron, dans le cadre du projet d’aménagement porté par Auvergne Habitat. Cette opération constitue la première tranche de l’étude préalable au projet de réhabilitation d’une partie de l’îlot, visant à la création de logements en location et de jardins. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés des époques médiévale et moderne.
Les fouilles archéologiques menées sur le site de NORT-SUR-ERDRE (44) – Espace Charles de Gaulle ont été réalisées par le bureau d’études Éveha, sous la responsabilité de François Pinaud, dans le cadre du projet d’aménagement porté par la commune de Nort-sur-Erdre. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour des vestiges datés de la Protohistoire, de l’Antiquité et du Moyen Âge.
